Il m'avait contacté plus ou moins un
mois avant qu'on ne se rencontre.
Parce que les choses mettent parfois du temps sur les applications. Avec tout ce qu'on entend on reste prudent. On ne laisse pas forcément quelqu'un débarquer chez soi d'emblée. On converse. On tâte le terrain.
Il m'avait contacté plus ou moins un mois avant qu'on ne se rencontre et il était de retour en ville, alors voyant mon profil connecté, comme je lui plaisais toujours, il m'avait envoyé un message dès son arrivée à son hôtel.
Je ne sais pas si c'est le fait de n'avoir plus baisé depuis presque une semaine et demie ou si mon humeur était simplement plus impulsive qu'à l'ordinaire, mais je lui ai fixé un créneau horaire et il a débarqué. Je m'étais préparé à ce qu'il se débine à la dernière minute ( Genre à 21h15 quand le rendez-vous est fixé pour 21h30, question de bien pourrir la soirée... ) mais il ne l'a pas fait, et rien que pour ça en lui ouvrant la porte j'affichais déjà un grand sourire. Qu'il m'a rendu.
Je l'ai embrassé dans l'ascenseur et j'ai fort aimé. Il embrasse bien.
On n'a pas parlé. La porte refermée derrière lui, il a retiré ses chaussures pour ne pas salir mon plancher. Certains garçons sont encore bien éduqués. On a recommencé à s'embrasser au milieu du salon. Sans rien se dire. Mes mains sur son visage, touchant sa barbe de trois jours, passant sous son t-shirt, dans sa nuque, à travers sa chevelure. Il m'embrassait sincèrement. Pas pour "démarrer". Je l'ai poussé contre le mur où encore une fois nos lèvres se sont retrouvées.
Peu aiment embrasser et le font bien. Quand j'en trouve un, j'en fais un trésor.
Il s'est déshabillé avant de monter sur mon matelas. Fesses incroyables. Larges cuisses recouvertes de poils foncés. Cheveux coupés tout courts.
Il m'avait contacté plus ou moins un mois avant qu'on ne se rencontre, et à présent je me disais que ma prudence m'avait fait perdre un temps précieux. Parce que c'était un ange. Un vrai. Dont l'odeur me plaisait grandement.
Je regardais tout. Pour fixer l'instant. Le plaisir.
Sa peau, l'arrondi de ses épaules, la forme de ses tétons, le rebondi de son menton. Et quand il a commencé à me sucer, je lui ai demandé de s'allonger sur le ventre pour pouvoir lui caresser les joues et le haut du dos en regardant son cul magnifiquement sublimé par la position relevée de ses jambes. Alterner baiser profonds et cette position m'excite au plus haut point. Si tant est que le garçon m'attire, ça va de soi.
Pourtant, il faisait tout les yeux fermés. Constamment fermés. Tant me sucer que m'embrasser. Quand je suis entré en lui, chaque fois, quel que soit l'axe de jeu, je voyais qu'il fermait les yeux. Je lui ai demandé si tout allait bien. S'il aimait. Lui ai expliqué qu'il ne devait pas hésiter à me dire s'il n'était pas à son aise. Qu'on était deux, que ça ne m'intéressait pas d'être le seul à apprécier. Mais il me répondait de continuer parce qu'au contraire il adorait ça.
Les hommes qui ferment les yeux m'ont toujours intrigué.
Bien sûr je les ferme aussi par moment, quand la situation est intense ou que j'ai envie de fantasmer davantage, mais a priori j'aime tellement regarder celui qui/à qui me/je donne du plaisir que lorsqu'il a les paupières closes, j'ai toujours peur que quelque chose pose problème... Si si, le sexe c'est aussi dans la tête !
Parce que les choses mettent parfois du temps sur les applications. Avec tout ce qu'on entend on reste prudent. On ne laisse pas forcément quelqu'un débarquer chez soi d'emblée. On converse. On tâte le terrain.
Il m'avait contacté plus ou moins un mois avant qu'on ne se rencontre et il était de retour en ville, alors voyant mon profil connecté, comme je lui plaisais toujours, il m'avait envoyé un message dès son arrivée à son hôtel.
Je ne sais pas si c'est le fait de n'avoir plus baisé depuis presque une semaine et demie ou si mon humeur était simplement plus impulsive qu'à l'ordinaire, mais je lui ai fixé un créneau horaire et il a débarqué. Je m'étais préparé à ce qu'il se débine à la dernière minute ( Genre à 21h15 quand le rendez-vous est fixé pour 21h30, question de bien pourrir la soirée... ) mais il ne l'a pas fait, et rien que pour ça en lui ouvrant la porte j'affichais déjà un grand sourire. Qu'il m'a rendu.
Je l'ai embrassé dans l'ascenseur et j'ai fort aimé. Il embrasse bien.
On n'a pas parlé. La porte refermée derrière lui, il a retiré ses chaussures pour ne pas salir mon plancher. Certains garçons sont encore bien éduqués. On a recommencé à s'embrasser au milieu du salon. Sans rien se dire. Mes mains sur son visage, touchant sa barbe de trois jours, passant sous son t-shirt, dans sa nuque, à travers sa chevelure. Il m'embrassait sincèrement. Pas pour "démarrer". Je l'ai poussé contre le mur où encore une fois nos lèvres se sont retrouvées.
Peu aiment embrasser et le font bien. Quand j'en trouve un, j'en fais un trésor.
Il s'est déshabillé avant de monter sur mon matelas. Fesses incroyables. Larges cuisses recouvertes de poils foncés. Cheveux coupés tout courts.
Il m'avait contacté plus ou moins un mois avant qu'on ne se rencontre, et à présent je me disais que ma prudence m'avait fait perdre un temps précieux. Parce que c'était un ange. Un vrai. Dont l'odeur me plaisait grandement.
Je regardais tout. Pour fixer l'instant. Le plaisir.
Sa peau, l'arrondi de ses épaules, la forme de ses tétons, le rebondi de son menton. Et quand il a commencé à me sucer, je lui ai demandé de s'allonger sur le ventre pour pouvoir lui caresser les joues et le haut du dos en regardant son cul magnifiquement sublimé par la position relevée de ses jambes. Alterner baiser profonds et cette position m'excite au plus haut point. Si tant est que le garçon m'attire, ça va de soi.
Pourtant, il faisait tout les yeux fermés. Constamment fermés. Tant me sucer que m'embrasser. Quand je suis entré en lui, chaque fois, quel que soit l'axe de jeu, je voyais qu'il fermait les yeux. Je lui ai demandé si tout allait bien. S'il aimait. Lui ai expliqué qu'il ne devait pas hésiter à me dire s'il n'était pas à son aise. Qu'on était deux, que ça ne m'intéressait pas d'être le seul à apprécier. Mais il me répondait de continuer parce qu'au contraire il adorait ça.
Les hommes qui ferment les yeux m'ont toujours intrigué.
Bien sûr je les ferme aussi par moment, quand la situation est intense ou que j'ai envie de fantasmer davantage, mais a priori j'aime tellement regarder celui qui/à qui me/je donne du plaisir que lorsqu'il a les paupières closes, j'ai toujours peur que quelque chose pose problème... Si si, le sexe c'est aussi dans la tête !
C'est lui qui m'a permis d'amorcer le sujet en me disant « - Tu me regardes tellement profondément. ». Je lui ai demandé si ça l'embarrassait. Et il a dit non. Alors je lui ai répondu que moi j'avais justement très fort envie de les voir ses yeux. Que je les trouvais beaux. Que je le trouvais beau. Il m'a fait un sourire et j'ai recommencé à bander super dur. Il l'a senti et est redescendu jouer de plus belle. Cette fois les yeux grands ouverts et de la complicité plein le visage.
C'est important de mettre l'autre en confiance. De lui dire
qu'il nous plait. De le toucher pour qu'il le comprenne. Les garçons
ont tellement appris à se barricader face aux « codes »
pré-établis qu'ils en arrivent à oublier que le sexe c'est du
partage. Pas juste de la conformité. Du coup, ça altère le
rapport d'échange.
J'ai besoin de savoir que l'autre est apaisé, qu'il aime, qu'il prend son pied. Que son corps répond au mien.
On a continué à faire l'amour comme des sots pendant deux heures, en se regardant "profondément" dans les yeux tout le temps. Lui embrasser les aisselles en lui bloquant les poignets derrière la tête, l'a fait bander lui, cette fois. C'est chouette d'être connecté. Et les yeux y sont pour beaucoup. Même si c'est plutôt compliqué de regarder quelqu'un quand on lui embrasse les dessous de bras.
On va se revoir.
Se re voir.
J'ai besoin de savoir que l'autre est apaisé, qu'il aime, qu'il prend son pied. Que son corps répond au mien.
On a continué à faire l'amour comme des sots pendant deux heures, en se regardant "profondément" dans les yeux tout le temps. Lui embrasser les aisselles en lui bloquant les poignets derrière la tête, l'a fait bander lui, cette fois. C'est chouette d'être connecté. Et les yeux y sont pour beaucoup. Même si c'est plutôt compliqué de regarder quelqu'un quand on lui embrasse les dessous de bras.
On va se revoir.
Se re voir.