J'avais descendu
mon cinquième verre de gin-tonic beaucoup plus vite que les
précédents et mes jambes me paraissaient cent fois plus légères
qu'à mon arrivée, deux heures plus tôt... On s'était grignoté un
morceau sous la pergola de leur jardin en discutant de tout et de
rien, le temps avait filé, mais comme ils m'avaient surtout invités
pour me faire partager leur nouveau jacuzzi fraîchement installé,
vers 23h30, après avoir ramené les plats et les couverts à la
cuisine, Maxime était monté nous chercher des peignoirs pour éviter
qu'on prenne froid en sortant de l'eau, tard dans la nuit... et
Gilles avait chopé trois gobelets en plastique pour qu'on puisse
continuer sur notre lancée, sans risquer de casser du verre, qui
serait devenu invisible, une fois tombé au milieu des remous.
Mon taux d'alcoolémie m'entamait un peu, mais l'excitation avait gardé le dessus parce que j'avais hâte de découvrir la terrasse aménagée en hauteur et l'agencement du bain bulles qu'ils m'avaient faits miroiter. Et surtout, je savais qu'une fois dans la moiteur des jets massants, on n'allait pas rester longtemps à causer philosophie...
On est passé dans leur chambre, Maxime m'a tendu un des peignoirs, je me suis foutu à poil devant lui, la queue déjà plein de mouille sous le prépuce, puis quand on s'est tous trois retrouvés emmitouflés sous le tissu éponge, on s'est mis en route, d'autres bouteilles de gin et de soda à la main.
Maxime est un peu exhib. Il adore qu'on voie ses tatouages -et surtout sa queue !- dépasser de ses fringues. ( En été, il s'assied dans les transports en commun sans sous-vêtements, portant juste un short dont les jambes coupées très large permettent de déceler son épaisse paire de couilles poilues depuis les sièges en face et, quand il a soit-disant besoin de changer de position, il écarte généreusement les cuisses l'air de rien, en continuant de lire son magazine. En général, une revue économique. ). Sa ceinture n'était donc pas nouée et, en grimpant les marches en bois vers leur mezzanie extérieure, il m'a innocemment posé une question, pendant que Gilles, déjà arrivé en haut, s'affairait à régler la température de l'eau. Sa teub était quasiment à l'horizontale et, en atteignant les dernières marches, tandis que je répondais à son inutile interrogation un grand sourire alcoolisé sur le visage, il se l'est décalottée pour frotter doucement le méat de son gros gland avec un peu de salive qu'il avait fait tomber sur son pouce au moment ou je m'étais retourné. Ils sont tous les deux bien cochons, mais Maxime est le provocateur, là où Gilles est plutôt celui qui se « laisse volontiers faire ».
L'installation était impeccable. Revêtement de sol en bois de teck, finitions joliment exécutées, sièges transats à roulettes assortis, table basse, pots de fleurs savamment agencés... Rien à redire autour du jacuzzi, installé dans un élégant socle surélevé à baldaquins, entre lesquels de délicates tentures de tissu imperméabilisé pouvaient être tirées pour se protéger du soleil. Ou des regards indiscrets, le cas échéant.
« - Mais personne ne peut nous voir, t'inquiète. Les vitrages d'à côté ne sont pas assez hauts et, de toute façon, les maisons sont trop éloignées... En revanche, 'faudra pas parler trop fort, parce que le voisin de 84 ans dort avec sa fenêtre ouverte, et l'autre jour pendant que je baisais Gilles, il a visiblement entendu que Gilles kiffait comme je lui faisais le cul, et a gueulé qu'il allait appeler les flics... ». « -Moi, cela dit, ça m'a fait juter plus intensément ! » a chuchoté Gilles avec un clin d'oeil.
J'ai retiré mon peignoir, Maxime a posé ses mains sur mon cul, puis y a collé sa bite pour m'écarter un tout petit peu les fesses avec, en me disant que ça faisait longtemps, et je me suis avancé pour escalader les trois marches de pierre bleue, qui donnaient sur le plan d'eau en mouvement, sous lequel des bulbes lumineux projetaient des cycles de couleurs changeantes.
Je n'avais profité d'un jacuzzi privé qu'une seule fois ; à Fire Island. Sur le porche d'une villa donnant sur la baie. Moment ultra romantique, en fin de nuit aussi. Sans quoi, je m'étais déja assis dans ceux des centres thermaux, m'étais déjà décontracté dans ceux des saunas gays après avoir joui un peu plus tôt dans une de leurs backrooms, avais essayé ceux des parcs aquatiques ( Que je recommande le moins du monde, d'ailleurs ! ) mais n'avais jamais eu l'occasion de me poser dans le jacuzzi personnel d'amis.
Gilles est venu s'installer à
ma gauche, et Maxime, la queue dressée vers le ciel étoilé est
entré dans l'eau à 37 degrés par le côté où il n'y avait pas
d'escalier.
Quand il a posé sa première jambe dans le bassin gonflable, ses testicules se sont mises à remuer juste à côté de mon épaule droite. Il a fini par s'asseoir au milieu des bulles, sa jambe gauche collée directement contre ma jambe droite. Il n'a plus rien bu. Il a tout de suite mis ses deux mains sous l'eau. Il se masturbe énormément. Il me l'a expliqué. Il est obsédé par les orgasmes. Il le fait avec les deux mains. Pas uniquement parce que sa bite est gigantesque, mais parce qu'il aime bien utiliser la paume de l'une et le bout des doigts de l'autre. Donc, il s'est masturbé et Gilles a fait de même.
Quand il a posé sa première jambe dans le bassin gonflable, ses testicules se sont mises à remuer juste à côté de mon épaule droite. Il a fini par s'asseoir au milieu des bulles, sa jambe gauche collée directement contre ma jambe droite. Il n'a plus rien bu. Il a tout de suite mis ses deux mains sous l'eau. Il se masturbe énormément. Il me l'a expliqué. Il est obsédé par les orgasmes. Il le fait avec les deux mains. Pas uniquement parce que sa bite est gigantesque, mais parce qu'il aime bien utiliser la paume de l'une et le bout des doigts de l'autre. Donc, il s'est masturbé et Gilles a fait de même.
J'avoue m'être paluché un peu aussi, mais j'étais dans une humeur plus décontractée que sexuelle à ce moment-là. Gilles causait avec moi. De mes conditions professionnelles, de mes projets, mes envies, mes espoirs. De temps à autre, sa main se détachait de sa tige pour venir caresser le bas de mon ventre et mon pubis. Mais je ne bandais pas.
Ca excite fort certains hommes qu'un mec ne bande pas, quand eux, en revanche, sont super excités. Moi, je dois bien admettre que ça m'excite terriblement. De ne pas bander quand les mecs autour de moi sont durs comme de la brique. Je me sens complètement utilisable. Complètement « à disposition ». C'est de l'ordre du fantasme, mais je me sens vraiment « sextoy vivant ». Prêt à simplement exécuter. Etre usé.
Maxime a agrippé ma main droite et l'a
refermée sur son sexe. Il a un sexe épais. Surtout à la base.
Gilles est très fier du sexe de son mec. Il en parle comme d'un
trésor. Et avec humour, il explique à qui veut l'entendre que pour leur mariage, il lui a offert un cockring plutôt qu'une alliance, parce qu'à l'intérieur il avait pu faire graver tous ses rêves, ce qu'il n'aurait pas pu faire dans une alliance...
Je ne me suis jamais fait baiser que par Gilles. Parce que Maxime a un outil qui m'impressionne trop.
Me voilà donc, la main droite en train de monter et descendre sur l'outil de Max, et la main droite de Gilles me câlinant délicatement les boules, et descendant vers mon trou de chatte.
Il est probablement minuit et demi et on est comme trois chaudasses dans un jacuzzi chichement éclairé, au milieu de la campagne, avec le bruit des grillons. Gilles bouge vers moi et m'embrasse. Maxime attrape mes hanches et tente de m'asseoir sur lui. Il ne cherche pas à me pénétrer. Juste à m'asseoir entre ses jambes, pour qu'il puisse mater son mec me bouffer la gueule et me sucer les tétons. Gilles adore me lécher. Il m'appelle son frisko parce qu'il trouve que ma peau a le goût de la couche de chocolat givré entourant la glace vanille, sur les bâtonnets sucrés. Le torse à moitié hors de l'eau, quand je commence à avoir un peu froid, je replonge deux minutes sous les bouillonnements et Max en profite pour me mordiller la nuque.
Je ne me suis jamais fait baiser que par Gilles. Parce que Maxime a un outil qui m'impressionne trop.
Me voilà donc, la main droite en train de monter et descendre sur l'outil de Max, et la main droite de Gilles me câlinant délicatement les boules, et descendant vers mon trou de chatte.
Il est probablement minuit et demi et on est comme trois chaudasses dans un jacuzzi chichement éclairé, au milieu de la campagne, avec le bruit des grillons. Gilles bouge vers moi et m'embrasse. Maxime attrape mes hanches et tente de m'asseoir sur lui. Il ne cherche pas à me pénétrer. Juste à m'asseoir entre ses jambes, pour qu'il puisse mater son mec me bouffer la gueule et me sucer les tétons. Gilles adore me lécher. Il m'appelle son frisko parce qu'il trouve que ma peau a le goût de la couche de chocolat givré entourant la glace vanille, sur les bâtonnets sucrés. Le torse à moitié hors de l'eau, quand je commence à avoir un peu froid, je replonge deux minutes sous les bouillonnements et Max en profite pour me mordiller la nuque.
« -T'es
content ? C'est ce que tu attendais de ta fin de soirée ?
C'est chouette, parfois, d'improviser, non ? »...
A qui le dis-tu ! J'ai deux garçons tout sexys rien que pour moi, et personne aux alentours pour nous intimider ou nous décourager d'être cochons à volonté.
A qui le dis-tu ! J'ai deux garçons tout sexys rien que pour moi, et personne aux alentours pour nous intimider ou nous décourager d'être cochons à volonté.
La bite de max ne
ramollit pas. Je n'ai d'ailleurs jamais vu sa queue ramollir quand il
baise. Il est ultra demandeur. « - J'adore vous regarder.
Continue à l'embrasser, Gilles ! Ca ne vous dérange pas si je
m'assieds sur le rebord et que je me branle en vous matant ? »
Pas le temps de lui répondre qu''il est déjà en train de s'exécuter. Il est dans son jardin, après tout. Aucune autorisation n'est nécessaire.
Pas le temps de lui répondre qu''il est déjà en train de s'exécuter. Il est dans son jardin, après tout. Aucune autorisation n'est nécessaire.
Gilles bande à
présent très fort aussi. Sa bite n'est pas du câlibre de celle de
son amoureux, mais il aime me montrer que je l'excite, et il tape le
bout sur le milieu de mon torse. Ce que j'aime, c'est que ni l'un ni
l'autre ne me fait mention de mon sexe qui, lui, reste mou. Ils ne
sont pas inquiets. Je prends mon pied. Une érection ne doit pas en
être la preuve.
« -Je ne pensais
pas que tu viendrais quand on t'a invité... Les gens sont pas fans des trucs de dernière minute. » me susurre
Gilles au creux de l'oreille avant de replonger sa langue contre la
mienne, pendant que sous l'eau son majeur dessine des cercles contre
mon sphincter.
« - Vous êtes beaux » gémit Max.
Il se masturbe toujours, mais il a changé de technique. Seuls son pouce et son index entourent maintenant la base de son gland, et il effectue de petits serrages réguliers à cadence rythmée.
Je suis au milieu. Je me laisse totalement aller. Gilles me lèche les aréoles, et me demande si je veux encore un peu de gin-tonic. Je réponds que je veux bien. Il en boit une gorgée, et me la reverse directement dans la bouche. Il doit à présent être une heure du matin et personne n'a froid. Maxime est complètement surexcité et Gilles et moi sous les effets des vapeurs d'eau et d'alcool.
« - J'ai envie de jouir. » lance Maxime.
« - On a dit pas dans le jacuzzi ! » réfrène Gilles.
Je ris. Fort. Et les deux interrompent ce qu'ils sont en train de faire pour mettre leur doigt devant la bouche en sifflant « Chuuuut », me montrant la maison du voisin de 84 ans...
Je pose ma main devant ma bouche en signe de stupéfaction, et eux deux se relèvent.
« - Vous êtes beaux » gémit Max.
Il se masturbe toujours, mais il a changé de technique. Seuls son pouce et son index entourent maintenant la base de son gland, et il effectue de petits serrages réguliers à cadence rythmée.
Je suis au milieu. Je me laisse totalement aller. Gilles me lèche les aréoles, et me demande si je veux encore un peu de gin-tonic. Je réponds que je veux bien. Il en boit une gorgée, et me la reverse directement dans la bouche. Il doit à présent être une heure du matin et personne n'a froid. Maxime est complètement surexcité et Gilles et moi sous les effets des vapeurs d'eau et d'alcool.
« - J'ai envie de jouir. » lance Maxime.
« - On a dit pas dans le jacuzzi ! » réfrène Gilles.
Je ris. Fort. Et les deux interrompent ce qu'ils sont en train de faire pour mettre leur doigt devant la bouche en sifflant « Chuuuut », me montrant la maison du voisin de 84 ans...
Je pose ma main devant ma bouche en signe de stupéfaction, et eux deux se relèvent.
J'ai leurs deux
sexes juste devant les yeux. Et croyez-moi, on a tous envie d'avoir
leur deux sexes juste devant les yeux.
« -On va
continuer dans la chambre ».
« -Tu
reviendras une prochaine fois pour le jacuzzi, ok ? ».
Pour leur signifier mon accord, je prends chacune de ces deux belles bites dans ma bouche plusieurs fois d'affilée, puis les colle l'une à l'autre pour les sucer toutes les deux en même temps. Gilles et Maxime s'embrassent, puis récupèrent leur peignoir, le mien, et on éteint la machinerie avant de redescendre vers leur maison.
On baise une bonne partie de la nuit. Gilles entre en moi. Délicatement au départ, puis de plus en plus frénétiquement. Me donnant l'impression de ne plus vraiment pouvoir se contrôler. Et Maxime le pénètre pendant qu'il a encore sa queue à l'intérieur de mon cul. Maxime bande sans arrêt. Et il aime regarder. Il aime regarder son mec. Il aime me regarder. J'adore le sexe hyper playful, et avec eux, c'est toujours le cas. Ils ne se prennent pas la tête. N'ont pas besoin de s'auto-regarder. Et comprennent que les pauses sont un moyen de se reconnecter les uns aux autres plutôt que le constat d'une fatigue...
Alors qu'il est toujours au fond de moi, Gilles se couche sur le dos en attrapant chacun de mes genoux, tout en continuant les mouvements de va et vient en moi, et Maxime viens lécher mon trou et la queue de son mec pendant qu'elle entre et sort. Je crois que c'est à ce moment que j'arrête de retenir mon excitation, et quelques secondes plus tard, je joui à raison de quatre saccades nerveuses... dont -vu la position que nous avons- l'une va se coller contre l'épaule gauche de Gilles qui me laboure toujours les entrailles.
Pour leur signifier mon accord, je prends chacune de ces deux belles bites dans ma bouche plusieurs fois d'affilée, puis les colle l'une à l'autre pour les sucer toutes les deux en même temps. Gilles et Maxime s'embrassent, puis récupèrent leur peignoir, le mien, et on éteint la machinerie avant de redescendre vers leur maison.
On baise une bonne partie de la nuit. Gilles entre en moi. Délicatement au départ, puis de plus en plus frénétiquement. Me donnant l'impression de ne plus vraiment pouvoir se contrôler. Et Maxime le pénètre pendant qu'il a encore sa queue à l'intérieur de mon cul. Maxime bande sans arrêt. Et il aime regarder. Il aime regarder son mec. Il aime me regarder. J'adore le sexe hyper playful, et avec eux, c'est toujours le cas. Ils ne se prennent pas la tête. N'ont pas besoin de s'auto-regarder. Et comprennent que les pauses sont un moyen de se reconnecter les uns aux autres plutôt que le constat d'une fatigue...
Alors qu'il est toujours au fond de moi, Gilles se couche sur le dos en attrapant chacun de mes genoux, tout en continuant les mouvements de va et vient en moi, et Maxime viens lécher mon trou et la queue de son mec pendant qu'elle entre et sort. Je crois que c'est à ce moment que j'arrête de retenir mon excitation, et quelques secondes plus tard, je joui à raison de quatre saccades nerveuses... dont -vu la position que nous avons- l'une va se coller contre l'épaule gauche de Gilles qui me laboure toujours les entrailles.
Maxime rit. Me demande si je veux que lui aussi me baise un peu, parce qu'il en meurt d'envie, vu ce à quoi il vient d'assister. Mais je suis claqué, et je décline poliment. Tout en séchant que la taille de l'outillage de Max viendrait probablement ajouter une touche de douleur au plaisir que je viens de ressentir pendant près de deux heures. Alors sans rien dire il entre d'un coup rapide en Gilles qui m'attrape la nuque, me retourne, et m'embrasse fougueusement.
Maxime jouit en Gilles au bout de quatre minutes. Gilles joui juste après, en nous demandant à chacun de lui mordre un téton. Et pour terminer, Max lui ordonne de recracher le sperme qu'il vient de lui juter dedans, pour l'étaler sur son propre torse en me disant « -T'as vu comme il est sex mon mec ? J'adore avoir mon foutre sur moi après que je l'ai craché en lui." C'est pas class. Mais qu'est-ce que c'est chaud.
Et... on s'endort.
Je me réveille à neuf heures et demie le lendemain, avec la queue de Gilles complètement raidie, coincée entre mes fesses. « -Je peux ? Tu as envie ? T'aimes ça, le matin ? » me demande-t-il gentiment, et j'acquiesce. « -Je ne me serais pas permis de te baiser sans ton accord, mais je suis réveillé depuis vingt minutes, et je n'en peux plus d'être collé contre toi, j'avais tellement envie de le faire quand même... Seulement, je ne sais pas comment tu aurais réagi, alors je me suis abstenu. »
Gilles n'a même pas besoin de me lubrifier. Je suis encore rempli de silicone de notre session de la veille. Et, une heure plus tard, assis sur la banquette du train du retour, je me perds à repenser comment on a réveillé Max en le suçant avec complicité jusqu'à la sortie de son lait du matin dont Gilles s'est délecté... Le contrôleur est assez sexy. Mon trou est encore assez accessible, et je me demande si... j'oserais lui proposer... ?
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