Il allait débarquer vers 10h30 du
matin.
Je n'avais jamais fait un plan à cette heure-là, mais ce qui le faisait kiffer, c'était l'idée d'arriver chez moi alors que j'étais encore dans mon lit, de se foutre à poil, d'entrer dans ma chambre sans même me jeter un regard, et de passer directement sous la couette pour me réveiller de plaisir en jouant avec ma queue.
Tout ça serait un peu pré-fabriqué évidemment, puisque je me lèverais une vingtaine de minutes avant qu'il ne sonne, pour me rafraîchir l'haleine et retirer mon pyjama, mais, étrangement, dans les jeux sexuels entre adultes consentants, les aspects techniques peuvent vite êtres oubliés si les deux intervenants ont une bonne symbiose... Et de symbiose, on en avait déjà une sympathique, puisque cela faisait trois quatre mois que nous conversions sur une appli avec des énergies qui avaient l'air de bien s'aligner.
Il a débarqué vers 10h30 du matin, comme prévu, et comme prévu, je m'étais levé vingt minutes avant pour me rafraîchir l'haleine et retirer mon pyjama.
Il a refermé la porte derrière lui, je l'ai entendu défaire la boucle de sa ceinture, laisser tomber son pantalon au sol, puis, une fois en slip, pousser la porte de ma chambre, et comme prévu, il s'est retrouvé sous mon édredon pour commencer à me caresser les testicules, les lécher doucement, renifler mon entre-jambe dans de profondes inspirations, et enfin sucer ma bite délicatement. On l'avait prévu. On s'était dit « Pas un truc violent, trop mécanique ». Envie de partage, de sensualité.
Il avait parfaitement compris.
Je n'avais jamais fait un plan à cette heure-là, mais ce qui le faisait kiffer, c'était l'idée d'arriver chez moi alors que j'étais encore dans mon lit, de se foutre à poil, d'entrer dans ma chambre sans même me jeter un regard, et de passer directement sous la couette pour me réveiller de plaisir en jouant avec ma queue.
Tout ça serait un peu pré-fabriqué évidemment, puisque je me lèverais une vingtaine de minutes avant qu'il ne sonne, pour me rafraîchir l'haleine et retirer mon pyjama, mais, étrangement, dans les jeux sexuels entre adultes consentants, les aspects techniques peuvent vite êtres oubliés si les deux intervenants ont une bonne symbiose... Et de symbiose, on en avait déjà une sympathique, puisque cela faisait trois quatre mois que nous conversions sur une appli avec des énergies qui avaient l'air de bien s'aligner.
Il a débarqué vers 10h30 du matin, comme prévu, et comme prévu, je m'étais levé vingt minutes avant pour me rafraîchir l'haleine et retirer mon pyjama.
Il a refermé la porte derrière lui, je l'ai entendu défaire la boucle de sa ceinture, laisser tomber son pantalon au sol, puis, une fois en slip, pousser la porte de ma chambre, et comme prévu, il s'est retrouvé sous mon édredon pour commencer à me caresser les testicules, les lécher doucement, renifler mon entre-jambe dans de profondes inspirations, et enfin sucer ma bite délicatement. On l'avait prévu. On s'était dit « Pas un truc violent, trop mécanique ». Envie de partage, de sensualité.
Il avait parfaitement compris.
Il était incroyablement beau. Bien
davantage que sur ses photos de profil. Son corps sec et doux me
donnait envie de le parcourir des mains sans arrêt, et j'ai commencé
à effleurer sa peau, tout en appréhension d'abord, puis de plus en
plus fermement. Le tenir. Le serrer. Contre moi. Le sentir. Le
regarder. Le regarder en train de passer son nez sur ma couture de
garçon, la lécher. Le regarder me regarder depuis les différents
endroits qu'il stimulait généreusement, les yeux plein de passion.
Incroyablement beau. Il a cambré son corps. Son dos. Pour me faire profiter de son joli cul, dans son slip. En trouvant le bon angle, on peut se faire sucer tout en caressant doucement des doigts l'anneau de délice du garçon qui s'occupe de notre plaisir. C'est ce que j'ai fait. Passant de caresses sur le rond de ses fesses à de légers tours autour de son trou tout lisse. Si lisse. Bonheur de ces trous lisses à la perfection. Comme si jamais utilisés. Lécher ses doigts, y laisser juste ce qu'il faut de salive pour être certain de stimuler... et s'y atteler. Mais toujours après avoir d'abord caressé à sec. Après avoir passé les doigts à quelques millimètres de la peau. Pour engager l'excitation. Sentir le garçon « arriver » à son rythme. Il y était. Il suçait adorablement. Et, chose importante, la complicité, était constante. L'écoute. Du corps de l'autre. Dans les deux sens. Du sien vers le mien. Du mien vers le sien.
Incroyablement beau. Il a cambré son corps. Son dos. Pour me faire profiter de son joli cul, dans son slip. En trouvant le bon angle, on peut se faire sucer tout en caressant doucement des doigts l'anneau de délice du garçon qui s'occupe de notre plaisir. C'est ce que j'ai fait. Passant de caresses sur le rond de ses fesses à de légers tours autour de son trou tout lisse. Si lisse. Bonheur de ces trous lisses à la perfection. Comme si jamais utilisés. Lécher ses doigts, y laisser juste ce qu'il faut de salive pour être certain de stimuler... et s'y atteler. Mais toujours après avoir d'abord caressé à sec. Après avoir passé les doigts à quelques millimètres de la peau. Pour engager l'excitation. Sentir le garçon « arriver » à son rythme. Il y était. Il suçait adorablement. Et, chose importante, la complicité, était constante. L'écoute. Du corps de l'autre. Dans les deux sens. Du sien vers le mien. Du mien vers le sien.
J'ai retiré son slip. Je bandais fort.
Sans avoir rien pris pour. J'aime bander fort sans avoir rien pris
pour. Ça me rappelle que j'ai du désir. Que je fonctionne. Que c'est
le système qui est foutu ; pas moi. Que quand je ne bande pas
alors que je suis en situation, c'est que je ne m'écoute pas. Que
j'essaie de correspondre. Aux schémas que le porno tente toujours
plus de nous faire passer pour la norme. Les mecs s'y perdent. Moi
parfois aussi. Parce que parfois, j'aimerais bien copier le porno. Être autant salope, autant ouvert, autant capable de prendre que dans
les films. Parce qu'à force d'en avoir vu, j'ai finis par croire que
parfois, si je m'applique, ça peut être moi. Seulement, ça ne
fonctionne pas. En tout cas, pas comme ça.
Je bandais fort. Il aimait ça. Il a tenu ma queue dans sa main. L'a serrée. L'a masturbée. En se masturbant lui-même. Vivement. Puis s'est allongé à nouveau pour recommencer à me sucer. Et je me suis penché au-dessus de lui pour atteindre son élastique de garçon. Y poser les lèvres. Passer le nez dessus. Descendre vers ses couilles en frottant lentement mon menton. Chair de poule. Baisers.
Il se relève et, à genoux tous les deux, nous nous faisons face. Il pose sa tête sur mon épaule. Il reprend ma queue dans sa main, me masturbe encore. En me souriant. Incroyablement beau. Je mouille d'excitation. Ce qui lubrifie sa main, simplifie et accélère les choses. Il me sourit encore. Dans cette humeur toute particulière du matin.
J'ai envie de jouir. Mais pas envie que ça se termine. Les garçons, quand on a joui, on est un peu ralenti. On doit se poser. Pas envie ici. Envie de lui. Encore. De tenir sa tête. De griffer sa nuque. Il s'allonge sur le dos, et je suis trop proche de l'orgasme pour me retenir encore longtemps. Je lui demande si je peux éjaculer. Je lui demande. J'aime l'idée que ce soit lui qui décide. Et, en se masturbant, ses yeux droits dans les miens, il acquiesce. Quelques mouvements de main supplémentaires le long de ma queue, je sens la pression dans mes aines, et le sperme sort à longs jets épais pour atterrir sur son ventre.
Lui aussi est en train de se masturber. Et soudain, alors qu'il gémit, son premier soubresaut me fait comprendre qu'à son tour, il atteint le climax. Mes yeux toujours au fond des siens. J'adore regarder je le foutre sortir du méat des hommes avec qui je couche, alors quand ses contractions arrivent, je baisse les yeux...
Dans la pénombre de la chambre, ce qui tache son bas ventre est noir. Visqueux, certes, mais noir.
Une seule seconde s'écoule, mais je comprends en l'instant. Deuxième soubresaut. Nouveau jet. Nouvelle tache noire. Il saigne. D'abord on dirait que le sang est dans son sperme, mais en voyant l'état de sa main, je comprends que ce n'est pas le cas. Il s'est déchiré le frein. Et ça pisse. Expression bêtement choisie pour l'occasion, mais c'est réellement le cas. Cela pisse le sang. Il y en a même un peu sur ma peau.
Sourire bienveillant, je le lui fais calmement remarquer. Panique légère à la découverte de sa main souillée et l'état de ses poils pubiens. Même stressé il est beau. Incroyablement. Il vient juste de jouir. L'hémoglobine doit probablement l'avoir instantanément sorti de son plaisir. Je ne peux faire que le rassurer. L'avantage d'avoir un ex à qui c'est déjà arrivé, c'est que de mon côte, je ne panique pas.
Une serviette pour retirer la masse de nos jus mêlés accumulée dans son nombril et il se tient devant le miroir de ma salle de bain, auscultant la base de son gland meurtri.
J'ai de l'onguent. Il en applique. Je m'assure qu'il n'a pas d'infection sexuellement transmissible, auquel cas il devrait filer voir un médecin, mais ce n'est pas le cas, et il remonte déjà son slip sur son entre-jambe.
Il est beau. Incroyablement.
Je bandais fort. Il aimait ça. Il a tenu ma queue dans sa main. L'a serrée. L'a masturbée. En se masturbant lui-même. Vivement. Puis s'est allongé à nouveau pour recommencer à me sucer. Et je me suis penché au-dessus de lui pour atteindre son élastique de garçon. Y poser les lèvres. Passer le nez dessus. Descendre vers ses couilles en frottant lentement mon menton. Chair de poule. Baisers.
Il se relève et, à genoux tous les deux, nous nous faisons face. Il pose sa tête sur mon épaule. Il reprend ma queue dans sa main, me masturbe encore. En me souriant. Incroyablement beau. Je mouille d'excitation. Ce qui lubrifie sa main, simplifie et accélère les choses. Il me sourit encore. Dans cette humeur toute particulière du matin.
J'ai envie de jouir. Mais pas envie que ça se termine. Les garçons, quand on a joui, on est un peu ralenti. On doit se poser. Pas envie ici. Envie de lui. Encore. De tenir sa tête. De griffer sa nuque. Il s'allonge sur le dos, et je suis trop proche de l'orgasme pour me retenir encore longtemps. Je lui demande si je peux éjaculer. Je lui demande. J'aime l'idée que ce soit lui qui décide. Et, en se masturbant, ses yeux droits dans les miens, il acquiesce. Quelques mouvements de main supplémentaires le long de ma queue, je sens la pression dans mes aines, et le sperme sort à longs jets épais pour atterrir sur son ventre.
Lui aussi est en train de se masturber. Et soudain, alors qu'il gémit, son premier soubresaut me fait comprendre qu'à son tour, il atteint le climax. Mes yeux toujours au fond des siens. J'adore regarder je le foutre sortir du méat des hommes avec qui je couche, alors quand ses contractions arrivent, je baisse les yeux...
Dans la pénombre de la chambre, ce qui tache son bas ventre est noir. Visqueux, certes, mais noir.
Une seule seconde s'écoule, mais je comprends en l'instant. Deuxième soubresaut. Nouveau jet. Nouvelle tache noire. Il saigne. D'abord on dirait que le sang est dans son sperme, mais en voyant l'état de sa main, je comprends que ce n'est pas le cas. Il s'est déchiré le frein. Et ça pisse. Expression bêtement choisie pour l'occasion, mais c'est réellement le cas. Cela pisse le sang. Il y en a même un peu sur ma peau.
Sourire bienveillant, je le lui fais calmement remarquer. Panique légère à la découverte de sa main souillée et l'état de ses poils pubiens. Même stressé il est beau. Incroyablement. Il vient juste de jouir. L'hémoglobine doit probablement l'avoir instantanément sorti de son plaisir. Je ne peux faire que le rassurer. L'avantage d'avoir un ex à qui c'est déjà arrivé, c'est que de mon côte, je ne panique pas.
Une serviette pour retirer la masse de nos jus mêlés accumulée dans son nombril et il se tient devant le miroir de ma salle de bain, auscultant la base de son gland meurtri.
J'ai de l'onguent. Il en applique. Je m'assure qu'il n'a pas d'infection sexuellement transmissible, auquel cas il devrait filer voir un médecin, mais ce n'est pas le cas, et il remonte déjà son slip sur son entre-jambe.
Il est beau. Incroyablement.
Il allait débarquer vers 10h30 du
matin.
Je n'avais jamais fait un plan à cette heure-là, et le sang n'est pas parvenu à m'ôter de l'esprit que ce moment avec lui est l'un des plus sensuels de toute mon existence...
Je n'avais jamais fait un plan à cette heure-là, et le sang n'est pas parvenu à m'ôter de l'esprit que ce moment avec lui est l'un des plus sensuels de toute mon existence...
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